Au cours d'une rencontre qu'elle a récemment organisée à 17 Rue des Saules 94410 Saint Maurice en France, l'association Afrique Infocité a informé ses partenaires de la mise sur pied de son projet dont l'une des parties permettra de doter la mairie d'Anyama de matériels de Technologies de l'information et de la communication (Tic).
Vulgariser les Tic et mettre en place une plateforme d'échanges entre les start-up ?uvrant dans ce domaine d'activité. Tels sont les deux objectifs de Afrique Infocité inscrits au c?ur de la rencontre de lancement officielle de ses activités organisé en France. La première partie du projet sur laquelle nous avons travaillé est la vulgarisation des TIC. () Notre priorité s'est orientée vers les mairies d'Afrique. Nous avons commencé un projet assez intéressant avec la mairie d'Anyama en Côte d'Ivoire. Ce projet est intitulé Anyama 2.0'' , a expliqué Mohamed Diaby, le Directeur général de ladite association.
A sa suite, Dominique Bussy, qui dirige le jumelage entre la ville de Pontault combault France et la ville d'Anyama en Côte d'Ivoire en partenariat avec l'association Echange Coopération Anyama Pontault Combault (Ecap), est revenu sur l'objectif phare de l'association incluant le projet Anyama 2.0''. A cet effet, il a souligné : Le projet permettra à la mairie d'Anyama de communiquer sur ses différentes actions au sein de la communauté, notamment lorsqu'il y a des festivals, des activités scolaires ou universitaires. () Il débouchera, également, sur l'informatisation de tous les services de la mairie. () Ainsi, cette mairie pourra également offrir des services, notamment dans la réalisation d'actes de naissance, à travers un portail Internet qui va permettre aux demandeurs un peu partout dans le monde d'adresser leur requête.
Bamba Mamadou, Directeur du partenariat initié par l'association en question, est également revenu sur l'intérêt de Anyama 2.0''.
Quant aux directeurs de start-up présents à la rencontre, ils ont surtout mis l'accent sur la deuxième partie du projet de Afrique Infocité. Il s'agit, selon eux, de mettre en place les échanges technologiques entre les start-up de l'Afrique et de la France.
A.A