vendredi 30 septembre 2016 par Notre Voie

Le candidat à l'élection législative pour le compte du Front populaire ivoirien (FPI), Marcel Gossio, continue son périple dans la commune de Port-Bouët. Le mercredi 28 septembre dernier, il était l'invité de l'Association des femmes chrétiennes d'Adjouffou. Dans ce quartier situé à l'extrême Sud d'Abidjan, l'ancien directeur général du Port autonome d'Abidjan (PAA) a dressé un message d'espoir aux populations qui souffrent de la politique hasardeuse du régime actuel. Chers parents d'Adjouffou, je suis venu vous dire de reprendre la lutte. La lutte pour votre bien-être. La lutte pour un mieux-être. La lutte pour les libertés perdues depuis le renversement du président Gbagbo en 2011. La lutte pour la démocratie. La lutte pour la libération du président Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé , a-t-il lancé. Avant d'indiquer qu'il s'agit d'un impératif pour tout ivoirien quelle que soit son obédience politique, ethnique et religieuse pour que Laurent Gbagbo soit libéré. Je vous demande de donner un groupe parlementaire au Fpi afin que ses députés transportent toutes vos souffrances, la souffrance du président Gbagbo dans le monde entier. Comptez sur moi parce que je compte sur vous. Ne vous y trompez pas. Faites le choix de la raison et de la dignité , a conseillé Marcel Gossio.

Le vice-président du FPI a saisi l'occasion pour appeler le chef de l'Etat à écouter la voix du peuple de Côte d'Ivoire concernant le projet d'élaboration d'une nouvelle Constitution. Pourquoi une nouvelle constitution maintenant ? Une nouvelle constitution n'est pas la priorité pour les Ivoiriens en ce moment, Que le chef de l'Etat écoute aussi la voix des ivoiriens un jour , a dit le candidat Marcel Gossio.


Robert KRASSAULT