jeudi 23 mars 2017 par Jeune Afrique

Élu en 2012 au Conseil administratif de la ville de Genève ? le gouvernement municipal, composé de cinq membres ?, Guillaume Barazzone en assure la présidence tournante depuis juin 2016.

À 35 ans, le maire de la ville, dont le mandat court jusqu'au 1er juin, revient sur les relations très spéciales tissées au fil des décennies entre Genève et le continent africain. Avocat passé par l'université Columbia, aux États-Unis, cette figure montante du Parti démocrate-chrétien (PDC) connaît bien le monde du négoce international.

Comment qualifiez-vous les relations entre Genève et l'Afrique ?

Nos liens sont très étroits. Les ressortissants africains jouent un grand rôle dans les 270 organisations internationales et non gouvernementales présentes à Genève. Une grande partie de nos programmes en matière d'aide économique et de coopération, cantonaux ou municipaux, est orientée vers l'Afrique, où nous essayons d'apporter nos compétences, en ce qui concerne la promotion aux investissements notamment.

L'image de paradis fiscal de la Suisse est révolue et n'a plus aucune raison d'être. ... suite de l'article sur Jeune Afrique