dimanche 16 avril 2017 par Fraternité Matin

Nous sommes à quelques jours du premier grand One-man-show que vous organisez à Abidjan. Cela, une semaine après la célébration de la fête pascale. Ne pensez-vous pas que le 30 avril au Palais de la culture de Treichville, convier le public à un spectacle, un week-end à peine après ce rendez-vous d'envergure, n'est-il pasun peu risqué ?

Non, je ne le pense pas, bien au contraire ! Convier la population abidjanaise à un spectacle, après les festivités pascales n'est pas risqué, quant à son intérêt pour l'humour, maintes fois réaffirmé. Parce qu'après avoir reçu toutes les grâces divines à Pâques, nous sommes aptes à monter sur scène pour produire un spectacle de qualité. Et ce, en prélude à la fête du travail, le lendemain du show, le 1er mai.

Moi monsieur ! , un titre évocateur qui amène tout le monde à se souvenir des moments d'apprentissage à l'école, d'emblée. Qu'est-ce que renferme ce titre de votre one-man-show, concrètement ?

Moi monsieur , était la réponse qu'on donnait aux maitres, quand on maîtrisait une question posée. Et comme je maîtrise le sujet de l'école, parce que j'y étais avec un chapelet d'anecdotes, que je veux partager avec le public. C'est pourquoi, je me lance dans ce pari, celui de faire rire tous et chacun, que je maîtrise bien, à travers ce spectacle, le premier d'envergure que j'ai monté et préparé des mois durant. Et qui permettra à tous de se retrouver autour du sujet de l'éducation, pendant une soirée de pur humour. Qui dit école, dit bonne formation. Et être à la place qu'on occupe dans la vie active aujourd'hui, est, sans conteste, à mettre au compte de notre parcours scolaire. ... suite de l'article sur Fraternité Matin