dimanche 4 juin 2017 par AIP

Dimbokro- Le correspondant du journal "Le Nouveau Réveil" dans les régions du N'zi, de l'Iffou et du Moronou, Tano Koffi Henri dit la dose repose à jamais, depuis ce samedi au cimetière de son village natal d'Adjoumanikro, situé à quelques sept kilomètres de la sous-préfecture de Nofou (Dimbokro).

Tano Koffi Henri qui a vécu dans la sanctification par le christianisme céleste a été inhumé sous une pluie battante en compagnie d'un de ses oncles mort quelques semaines avant lui. Il a reçu les hommages de nombreux confrères, amis et connaissances venus soutenir sa famille, sa veuve et ses enfants, avant d'être conduit à sa dernière demeure.

Emporté le 24 mai dernier par une maladie au centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon, à Abidjan, Tano Henri, travailleur infatigable, laisse un grand vide à le Nouveau Réveil . Appelé affectueusement La Dose ou L'International Local par les populations de Dimbokro parce que toujours en mission pour le compte de son journal dans les différentes contrées des trois régions, le journaliste Tano Henry était qualifié d'"homme affable, sans histoire, bien connu de tous". Il est mort à peine 40 ans.

Le correspondant de Le Nouveau Réveil a fait ses premiers pas dans la presse en 2005, en entrant à "Le Nouveau Réveil" qu'il a servi pendant une douzaine d'années. Il était considéré dans la région comme l'un des "doyens et tuteurs" de la presse de presque tous les correspondants des autres organes qui y exercent. Il laisse derrière lui une veuve et des enfants.

ik/tm