lundi 12 juin 2017 par Fraternité Matin

Des actes majeurs ont été posés par le gouvernement ivoirien dans le domaine des droits de l'homme.

Apporter aux parlementaires ivoiriens, des arguments solides, afin de leur permettre de mieux défendre les projets de lois pour une meilleure protection des droits des personnes migrantes dans l'espace Cedeao. Tel est le but d'un atelier organisé lundi dernier, à Angré, dans la commune de Cocody par la convention de la société civile ivoirienne (Csci).

Cette formation, la énième du genre, a enregistré la participation d'une vingtaine de députés ivoiriens autour du thème les politiques migratoires en cours d'élaboration en Côte d'Ivoire et liberté de circulation .
A l'ouverture de l'atelier, le premier vice-coordonnateur de la csci, Guigui veto, a souligné qu'il s'agit pour sa structure de pallier les insuffisances constatées dans l'espace cedeao, suite à la non-application du protocole de 1979 relatif à la libre circulation des personnes et des biens.

Selon lui, des actes majeurs ont été posés par le gouvernement ivoirien dans le domaine des droits de l'homme. Mais, dira-t-il, au niveau des politiques migratoires et de la liberté de circulation, beaucoup reste à faire, puisqu'il existe quelques insuffisances au niveau du protocole de la Cedeao sur la question. ... suite de l'article sur Fraternité Matin