lundi 12 juin 2017 par Jeune Afrique

C'est peu de dire que notre couverture de la semaine dernière intitulée Guillaume Soro, une énigme ivoirienne (voir JA n° 2943) n'a pas laissé les Ivoiriens indifférents.

Beaucoup nous ont remerciés d'avoir dit tout haut ce que la plupart pensent tout bas et d'avoir rappelé ce principe fondamental : justice équitable et quête de la vérité concernent tout le monde, du citoyen lambda au dépositaire des plus hautes fonctions. D'autres, qui comptent manifestement parmi les supporters béats du président de l'Assemblée nationale, n'ont que très modérément apprécié Docteur Guillaume et Mister Soro , l'éditorial rédigé par l'auteur de ces lignes. Inutile de revenir ici sur les amabilités qu'ils nous ont adressées. Ni sur les accusations de complot et de coup monté portées contre nous. Nous sommes évidemment ouverts à la critique et au débat. Mieux : nous les appelons de nos v?ux.

La question est importante et mérite autre chose que des insultes et des accusations diffamatoires. Précisons quand même que, dans ce même numéro, nous avons interviewé Guillaume Kigbafori Soro (GKS) et donné la parole à ses proches et à ses partisans Que disait notre éditorial ? Que les armes découvertes chez son directeur du protocole, à Bouaké, ont permis aux mutins ... suite de l'article sur Jeune Afrique