Toulépleu - Des éléments de la police, gendarmerie, douane, eaux et forêts, militaires ainsi que des enseignants ,des praticiens de la santé et membres des comités locaux de protection ont bénéficié samedi d'une séance de renforcement de capacités sur la prise en charge des victimes de violences basées sur le genre VBG).
La séance animée par le directeur du centre social de Toulépleu, Djè Bi Tié benjamin, par ailleurs coordonnateur de la plateforme de lutte contre les VBG dans le département. Il a été assisté par des responsables du bureau local du Haut-commissariat aux réfugiés (HCR) qui est également le bailleur de ladite plateforme.
En outre, les échanges avec les participants ont permis aux formateurs de se rendre compte combien de fois le poids des cultures et traditions se dressent-il contre les mesures de lutte contre les VBG.
Les participants ont été exhortés chacun à apporter sa contribution dans son secteur d'activité. Une façon, selon M. Djè Bi, qui contribuera inévitablement à une atteinte rapide des résultats concernant les actions visant le respect des droit de l'homme qui en est l'un des trois facteurs principaux favorisant les VBG.
(AIP)
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