mardi 20 juin 2017 par Fraternité Matin

Le patron du club jaune et noir ne cache pas sa satisfaction face à l'exploit de ses joueurs.
Quels commentaires vous inspire l'acquisition du titre de champion de Côte d'Ivoire 2016-2017?
Nous avons bataillé pour être à ce niveau. C'est un juste retour des choses. Depuis 2010, ce titre nous échappait. Je suis fier des supporters, des joueurs, de l'équipe et de l'encadrement technique. Nous avons connu des moments difficiles cette année. C'est aussi cela la marche d'un grand club. Dans notre parcours, il y a eu ces éliminations dans les compétitions nationales de Coupe de la Ligue et de la Coupe nationale. Mais aussi cette élimination de la Coupe africaine. Cela n'a pas été facile, parce qu'il y a eu des coups bas et des crocs-en-jambe pour empêcher cette équipe de l'Asec d'être championne. Mais nous sommes bien présents à la fin du championnat. C'est cela l'Asec. Nous serons toujours là pour faire face à tous les obstacles.

Vous avez, pendant sept ans, pourtant joué les seconds rôles derrière des équipes telles que le Séwé Sports et l'As Tanda
Nous sommes restés très forts dans la tête. C'était ce qui devait nous permettre de garder notre niveau. L'Asec, c'est d'abord un club. Un grand club. Une importante organisation. Ce n'est pas qu'une simple équipe de football. Évidemment que sept ans sans titre,c'était trop. Malgré tout, je suis resté fort à la barre avec le soutien des Actionnaires. Ils ont eu confiance en moi. L'Asec est une institution forte et tout le monde ne peut pas la diriger comme nous l'avons fait. Nous avons notre histoire. Nous avons notre identité. Nous avons notre réputation d'équipe internationale. Ne dirige pas l'Asec qui veut. Il y a toute une organisation professionnelle. C'est une institution ... suite de l'article sur Fraternité Matin