mercredi 26 juillet 2017 par Jeune Afrique

Moins d'une semaine après les tirs entendus à l'école nationale de police d'Abidjan et l'attaque de la gendarmerie d'Azaguié, les autorités ivoiriennes ont annoncé ce mardi l'interpellation de cinq assaillants présumés.

Parmi eux, d'ex-combattants démobilisés et des militaires en service dans l'unité mixte d'élite dénommée le Centre de commandement des décisions opérationnelles (CCDO). À l'occasion de cette annonce, Hamed Bakayoko, le ministre de la Défense et numéro deux du gouvernement, avait réuni à son cabinet du quartier du Plateau à Abidjan, son collègue de l'Intérieur et de la Sécurité Sidiki Diakité, ainsi que Youssouf Kouyaté, commissaire divisionnaire et directeur général de la police, le général Nicolas Kouakou, commandant supérieur de la gendarmerie, et le général Sékou Touré, chef d'état major des armées.

Objectif : procéder au débriefing de l'enquête concernant les événements survenus le 19 et le 21 juillet face à la presse, également conviée. Et par la même occasion, permettre à Sidiki Diakité, nouveau venu dans le gouvernement, de faire son baptême du feu face aux journalistes sous le regard de son prédécesseur.

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