mercredi 26 juillet 2017 par Jeune Afrique

Si la Côte d'Ivoire continue d'accumuler les satisfecit dans presque tous les domaines qui déterminent la bonne marche d'une économie, sur le plan social, l'État doit faire plus et plus vite.

La locomotive ivoirienne va connaître en 2017 un nouveau ralentissement, soit une croissance de 6,9 % contre 7,5 % en 2016 et 8,9 % en 2015, si l'on en croit le Fonds monétaire international (FMI). La crise cacaoyère, les retards de paiement du secteur public, une conjoncture très moyenne dans le BTP et le secteur manufacturier expliquent ce fléchissement.

Malgré tout, la Côte d'Ivoire continue d'accumuler les satisfecit dans presque tous les domaines qui déterminent la bonne santé d'une économie. Le climat des affaires amélioré, les performances macroéconomiques confirmées, la gestion des finances publiques en progrès, la solidité du système financier assuré et le développement des infrastructures maintenu à un train d'enfer lui valent un niveau élevé de confiance peu fréquent auprès des investisseurs internationaux. ... suite de l'article sur Jeune Afrique