mercredi 22 fevrier 2017 par Jeune Afrique

Le chantier de décentralisation du président Akinwumi Ayodeji Adesina prévoyait en décembre le départ de 800 à 900 personnes vers Nairobi, Johannesburg et Tunis. Ce qui avait suscité la colère des autorités ivoiriennes estimant avoir tout fait pour obtenir le retour du siège transféré à Tunis en 2003. Jeudi 16 février, le patron de la BAD s'est voulu rassurant.

En décembre, le projet du président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Ayodeji Adesina, de transférer 800 à 900 personnes (environ 40 % des effectifs) vers les cinq pôles régionaux créés par la Banque africaine de développement avec l'objectif d'être plus proche du terrain sous 18 mois, avait suscité la colère à Abidjan.

Abidjan reste au programme

Alors que Nairobi, Johannesburg et Tunis devaient accueillir ce personnel supplémentaire, et que deux autres localisations devaient encore être choisis, Abidjan abritera les bureaux d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale, a indiqué jeudi 16 février Akinwumi Ayodeji Adesina dans la capitale économique ivoirienne. Par ailleurs, en Afrique du Sud, Pretoria, et non plus Johannesburg, serait à l'ordre du jour. ... suite de l'article sur Jeune Afrique