lundi 9 octobre 2017 par Pôle Afrique

D'aucuns lui collent un qualificatif de traître, quand d'autres pensent par contre qu'il a au contraire été juste dans ses déclarations ou qu'il a juste dit sa part de vérité sur ce qui s'est passé en Côte d'Ivoire pendant la crise postélectorale de 2010-2011. Le témoignage du Général Philippe Mangou à la Cour Pénale Internationale (CPI) dans le cadre du procès pour crime contre l'humanité de l'ex-dirigeant ivoirien, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, est diversement apprécié dans son pays.

Chef d'état-major des armées de Côte d'Ivoire au moment de la crise postélectorale de décembre 2010 à Avril 2011, le témoignage du général de corps d'armée, Philippe Mangou était très attendu. Il est également l'objet de multiples et divergents regards depuis la fin de sa comparution ce jeudi 5 octobre.

Le général Mangou était un acteur clé de la crise donc sa déposition devrait éclairée la Cour. Nous avons vu un général tout confiant et surtout pour nous, il s'est étalé souvent dans ses réponses. Cela a ennuyé un peu la Cour. En ce qui concerne notre appréciation il faut dire que nous sommes restés sur notre faim. Aux juges d'apprécier et décider en toute souveraineté , commente Dr Adjoumani Kouamé le président de la Ligue ivoirienne des droits de l'homme (LIDHO) joint par Pôleafrique.info. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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