mercredi 18 octobre 2017 par LInfodrome

On peut travailler dans un domaine où les armes à feu sont un important outil. Ce qui implique un contact permanent avec ces armes. Mais, rien ne dit qu'on en a une parfaite maîtrise. Et ça, le sergent D.I., garde pénitentiaire, en service à la Maison d'arrêt et de correction d'Agboville ( Maca), a fait la malheureuse expérience, de cet état de fait.

Nos sources informent, en effet, que travaillant à Agboville et résidant également dans cette localité, l'agent d'encadrement des services pénitentiaires se retrouve à Abidjan. Sans doute, à la suite d'une permission obtenue. En tout cas, nos sources n'éclairent pas vraiment sur la présence de l'agent, sur les bords de la lagune ébrié.

Mais il nous revient que l'homme ne vient pas seul à Yopougon, où il pose ses valises. Il a avec lui, son arme à feu personnelle. Rien à voir avec une dotation régulière. C'est son fusil de calibre 12, de fabrication artisanale. Un fusil nullement connu des fichiers de l'armurerie des forces militaires et para-militaires.

Le jeudi 12 octobre 2017, tôt le matin, D.I. se réveille. Et là encore, il ne se lève pas tout seul. Dans les mains, il a son bijou , son fameux fusil de fabrication artisanale, ?uvre certainement d'un forgeron des contrées du nord. Une espèce de mouflet qui pète et qui lâche de la poudre enivrante. Ça suffit, en tout cas, au bonheur de notre garde pénitentiaire. ... suite de l'article sur LInfodrome