mercredi 3 janvier 2018 par Pôle Afrique

Événement survenu dans la nuit du 1er au 2 Janvier au CHU de Yopougon. Loin d'être un conflit structurel entre le GSPM et le CHU, est en fait un événement malheureux, conjoncturel, humain, et ponctuel.

Le GSPM et les Centres Hospitaliers sont tous les deux des maillons essentiels de la chaîne des secours qui démarre par le 1er témoin , c'est ainsi que sont formulés les premiers mots du Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) de Côte d'Ivoire sur l'incident survenu entre des agents de ces deux structures en ce début d'année.

Dans ce post publié ce mercredi 3 janvier sur leur page Facebook Gspm Sapeurs Pompiers, les soldats de feu ivoiriens rappellent la complémentarité et la complicité qui existent entre eux et les hôpitaux. A les en croire, c'est un lien qui ne pourrait être altéré par l'événement de la nuit du 1er au 2 janvier.

La collaboration entre ces entités EST et DOIT demeurer parfaite pour la prise en charge efficiente des blessés et malades. Ce malheureux événement, loin de fragiliser le couple GSPM/Hôpitaux, permettra de trouver les procédures adéquates pour le bien des populations. Il a été discuté au plus haut niveau de la hiérarchie du GSPM, des Armées, du CHU et de la SANTÉ. Gspm Sapeurs Pompiers ne veut pas faire enfler la polémique mais plutôt faire comprendre à l'ensemble des usagers que la relation entre le GSPM et le CHU notamment de Yopougon ne saurait être altérée par cette situation , lit-on dans la publication.

Et de poursuivre que, Des médecins ont été secourus par les pompiers sur les routes, dans les eaux etc. Des pompiers ont été sauvés par des médecins dans les hôpitaux, et les cliniques. Le GSPM c'est aussi plus d'une dizaines de médecins, et de nombreux infirmiers. Ensemble nous garderons notre objectif qui est de mettre la Victime au centre de nos préoccupations. Car c'est elle notre raison d'exister rappellent à juste titre le GSPM.

A l'origine de cette publication, une altercation entre des éléments des sapeurs-pompiers militaires et un médecin survenue au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Yopougon dans la partie ouest d'Abidjan, la capitale économique de côte d'Ivoire. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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