lundi 12 mars 2018 par Pôle Afrique

Le Gouvernement a décidé d'opter pour la rigueur, la discipline dans les rangs de l'armée qui en 2017 avait donné dès janvier des sueurs froides aux ivoiriens mais surtout aux tenants du pouvoir.

Les mutineries se succédaient autour des questions pécuniaires jusqu'en mai 2017 avec pour baroud d'honneur à la défiance des autorités les forces spéciales. Ces épreuves ont été rangées aux vieux souvenirs quand Bouaké a fait un petit échauffement, occasionnant la destruction des bureaux abritant le CCDO (Centre de coordination des opérationnelles décisionnelles). Et la fuite, in extremis, d'Amoudé Traoré, l'homme dont la tête était mise à prix par des soldats du BASS (Bataillon d'artillerie-sol sol) logé sur le même site que la Région Militaire et plus loin, le 3è bataillon d'infanterie ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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