lundi 19 mars 2018 par Pôle Afrique

En novembre 2016 suite à des brouilles au RHDP lors des législatives, il avait été remercié en même temps que certains cadres de l'UDPCI, son parti, de son poste de conseiller à la présidence de la République. Pour la première fois après cet épisode, le ministre Flindé Albert par ailleurs vice-président de l'UDPCI se confie à la presse. Entretien.

M. le ministre à la suite des sénatoriales, viendront les élections locales. Que fera l'UDPCI votre parti si encore une fois le RHDP et vous ne vous accordiez sur le choix des candidats ?

Aujourd'hui nous sommes dans une dynamique au RHDP. Nous avons décidé d'aller aux différentes élections sénatoriales et locales que sont les municipales et les régionales en RHDP. Déjà pour les sénatoriales, on a trouvé un terrain d'entente. Nous avons déposé 33 listes RHDP dans lesquelles, l'UDPCI est concernée par 2 régions. A savoir le Tonkpi et le Guémon. On espère que les débats qui ont été conduits dans ce cadre vont être reproduits sur les élections locales. Nous on espère. L'UDPCI est un parti de mesure. C'est parce qu'en 2016, le RHDP s'y est pris tard, et cela a été mal géré. Pour les sénatoriales, il y a eu des débats clairs au comité de haut niveau, et on s'est entendu. On ne peut pas par exemple se présenter dans l'Indénié Djuablin. On a aucun élu là-bas or pour ce scrutin, le collège électoral est connu déjà. Pour les autres élections on verra. On a déjà commencé à nous préparer. Et on se prépare à aller à ces scrutins dans l'esprit des débats francs avec nos alliés.

Quel message lancez-vous aujourd'hui à vos alliés du RHDP pour éviter de vous retrouvez dans les brouilles de 2016 ? ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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