mercredi 2 mai 2018 par Pôle Afrique

En dehors, de la libération des prisonniers politique et de la prise en compte du genre, plusieurs points communs transparaissent dans les revendications corporatistes et sociales des centrales syndicales à l'occasion de la fête du travail célébrée ce 1 er mai 2018 à la présidence de la république de côte d'ivoire.

La réintégration de travailleurs licenciés, parfois de fait de grève ou le paiement de leur dû fait est une question transversale contenue les différentes interventions. Les centrales syndicales sont également unanimes sur les coûts loyers jugés élevés et les difficultés d'accès à l'eau potable. Elles souhaitent également un assainissement de la sécurité. Il urge que les fruits de la croissance parviennent à la population. () L'eau potable n'est plus accessible pour de nombreuses familles ivoiriennes. Nous payons pour 75% pour la facturation du vent qui sort dans les robinets et 25% pour l'eau, dépeint Soro Mamadou de la Centrale Syndicale Humanisme.

Les licenciés de l'Anasur, le contentieux de Vigassistance sont, entre autres, les préoccupations de la centrale. La Centrale Dignité a encore cette année demandé la libération des prisonniers politiques pour la cohésion sociale . Eli Boga Dago, le secrétaire général a également insisté sur le non-respect des lois du travail. Les travailleurs sont sans protection. La santé et la vie des travailleurs sont menacées. La santé et la sécurité au travail n'est pas respectée , constate-t-il. Il pointe du doigt la précarité des inspecteurs de travail chargés de contrôler le respect
des lois du travail. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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