jeudi 8 fevrier 2018 par Pôle Afrique

Des aspirantes à la candidature n'ont pas été retenues par leur parti politique pour les législatives de décembre 2016. Le Groupe des Organisations Féminines pour l'Egalité Homme-Femme (Gofehf) en Côte d'Ivoire, a dénoncé un recul démocratique à cette époque. Plus d'un an après, les recalées brisent le silence et relancent le débat de la prise d'une loi sur la parité en politique.

Le 22 novembre 2016, elle est soutenue à l'applaudimètre par ses paires à Abidjan-Plateau. Non retenue sur la liste officielle des candidats de son parti aux législatives ivoiriennes à cette période, Dié Bonao Céline, prend le contrepied. Je ne vais pas sacrifier ma vie politique sous l'autel de la discipline. Je suis candidate indépendante à Duékoué commune dans l'ouest ivoirien , déclare alors la première présidente des femmes de l'Union pour la Démocratie et la Paix en Côte d'Ivoire (UDPCI) à sa création en 2000. Elle finit par perdre l'élection dans sa localité.

Plus d'un an après, quelle est son actualité politique ?

Je suis là. Je vais bien. Je poursuis mes activités politiques et sociétales. Je suis le plus intéressée par les législatives que les municipales car mon souhait est de voir plus de femmes à l'hémicycle. Je veux être députée pour améliorer les conditions de vie des femmes. J'ai perdu aux élections en tant que candidate indépendante car à l'époque je n'avais pas eu la caution de mon parti mais il y a une autre façon de se battre en dehors de l'hémicycle, donc je peux vous assurer que le combat continue , répond la militante politique, interrogée par pôleafrique.info courant janvier 2018. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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