jeudi 15 fevrier 2018 par LInfodrome

D'importantes dispositions de l'annexe fiscale à la loi de finances 2018 ont été annulées, officiellement depuis le lundi 5 février 2018. Cependant, certaines mesures d'imposition que comportait cette annexe fiscale et qui fâchent, sont entrées en vigueur, au niveau de certains secteurs d'activité.

Ces usagers de transferts d'argent disent n'avoir d'autres choix que de subir toutes ces taxes. A en croire certains, s'ils se résignent à faire face à ces augmentations de frais sur les transactions financières via le mobile money, c'est sans nul doute parce qu'elles ne sont pas du fait des sociétés de téléphonie mobile, mais de l'État de Côte d'Ivoire lui-même qui, à travers des textes réglementaires, institue ces taxes. Ce n'est pas comme si les entreprises de téléphonie mobile nous imposaient des frais supplémentaires dans leur volonté de vouloir faire du chiffre d'affaires. Nous savons tous que ce sont nos dirigeants actuels qui nous soumettent au paiement de tous ces frais, pour le moins injustifiés , a dénoncé Olivier Jean Levry, personnel de restaurant à Koumassi. Pour Ange Donald Mel, pompiste, c'est l'inertie des Ivoiriens face aux décisions impopulaires qui motive davantage l'entité étatique à multiplier ce genre d'actions. Si l'on s'en tient à son commentaire, cette manière pour l'État de brigander la population devrait être dénoncée dans un élan de solidarité à l'ivoirienne ... suite de l'article sur LInfodrome