samedi 17 fevrier 2018 par Fraternité Matin

La campagne 2018 a mis l'accent sur des noix bien séchées et bien triées pour que la production de 711 000 tonnes prévues s'écoule aisément et que la transformation locale se développe.

La Côte d'Ivoire, premier pays producteur mondial de la noix de cajou depuis 2015 à ce jour, en plus de la faiblesse du rendement à l'hectare, fait face à un autre grand challenge : la qualité de sa production. Pour parvenir, comme le Mozambique qui a un meilleur KOR (un meilleur pourcentage de bonnes amandes dans un sac de 80 kg de noix de cajou), à ravir aussi sur le marché international, la plus ?value qui va de 50 à 300 dollars américains.

Le Dr Adama Coulibaly, directeur général du Conseil du coton et de l'anacarde, qui ne cesse de répéter : La qualité a un coût, parce qu'il y a de nombreux efforts à fournir, mais a aussi un prix ; une meilleure vente sur le marché international pour créer davantage de richesse , a entrepris, après plusieurs études diagnostiques, de mettre en ?uvre l'axe stratégique de la réforme de la filière anacarde, relatif à l'organisation des acteurs (producteurs, acheteurs, transformateurs). Pour la mise en place d'une Organisation interprofessionnelle agricole crédible et représentativité, conformément aux dispositions de l'ordonnance du 21 décembre 2011. ... suite de l'article sur Fraternité Matin