samedi 30 juin 2018 par Jeune Afrique

Saisie par la défense du maire de Dakar, la Cour de justice de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest a estimé vendredi que les droits de Khalifa Sall et de ses cinq coaccusés avaient été violés. L'édile avait été condamné fin mars à 5 ans de prison ferme dans l'affaire de la caisse d'avance de la mairie de Dakar.

La Cour de justice de la Cedeao vient de provoquer un rebondissement inattendu dans l'affaire Khalifa Sall. Moins de deux semaines avant l'ouverture du procès en appel du maire de Dakar et de ses coaccusés, le 9 juillet, les juges de la Cedeao ont estimé que le droit à l'assistance d'un conseil, le droit à la présomption d'innocence et le droit à un procès équitable des requérants ont été violés . ... suite de l'article sur Jeune Afrique