samedi 7 juillet 2018 par Jeune Afrique

Quatorze ans après le bombardement meurtrier de la base militaire française de Bouaké par deux avions de l'armée ivoirienne, en 2004, le parquet de Paris vient de rendre son réquisitoire.

Il est 13h20, le 6 novembre 2004, à Bouaké, lorsque retentit une forte explosion. La base de l'armée française, installée dans l'enceinte du lycée Descartes vient d'être bombardée par deux Sukhoï-25 de l'armée ivoirienne. Neuf militaires français et un civil américain sont tués, 38 personnes blessées. En riposte, Paris détruit immédiatement l'aviation ivoirienne. ... suite de l'article sur Jeune Afrique