jeudi 26 juillet 2018 par Pôle Afrique

Après 13 échecs, les avocats de Laurent Gbagbo, demandent une nouvelle fois la libération de leur client écroué à la Haye depuis la crise post-électorale en Côte d'Ivoire. La requête de la défense a été déposée le 23 juillet 2018 auprès des juges de la CPI. Mais les motifs évoqués par les avocats vont-ils enfin, infléchir la décision de ces derniers? L'analyse des juristes ivoiriens.

Le cas du procureur a duré deux ans ; 82 témoins ont été appelés ; l'ensemble des témoignages correspond à 15000 pages de transcrits ; le procureur a déposé des milliers de documents et des centaines d'heures de vidéos au dossier. Sa preuve est exposée dans un Mid-Trial Bref de 542 pages (y compris l'ensemble des annexes) peut-on lire à l'article II, annexe 7, point 6 de la requête des avocats de la défense avant de poursuivre au point 7, en indiquant que dans les soumissions de la Défense portées en annexe de la présente requête. Il est démontré que les éléments présentés par le procureur contre Laurent Gbagbo dans le cadre de son cas, ne permettent pas de prouver les charges, au-delà de tout doute raisonnable . ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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