mardi 28 aout 2018 par L'intelligent d'Abidjan

Le centre islamique Hammad Ibn Anbal , sise au quartier Kokrénou de Yamoussoukro a servi de cadre, les 19 ,21 et 23 Août 2018 à la cérémonie de partage de viande et de remise d'enveloppes de l'ONG BADR (Lumière en arabe).

Cette ONG a offert la somme de 1.200.000f à une soixante de veuves et des b?ufs aux familles musulmanes démunies ainsi plusieurs familles vulnérables, des villes de Yamoussoukro, Dimbokro et Kononfla .Selon le président de cette organisation non gouvernementale spécialisée dans les actions de bienfaisance et de partage, El Hadj Sako Moussa, Imam principal de la mosquée Hammad Ibn Anbal , ce don a été possible grâce à l'ONG Allemande Hasene .Il a indiqué que la distribution de viande s'inscrit dans l'esprit de l'Aïd -El- Kébir, qui est une fête de partage. Aussi a-t-il remercié, les partenaires allemands pour ce geste hautement spirituel. Car, a-t-il relevé Cet acte de partage surtout en cette période de fête apporte une joie inestimable dans les foyers .Avant de faire au nom des bénéficiaires et son organisation, des prières et bénédictions pour les donateurs, afin que cette action soit pérenne. C'est au total 250 b?ufs, que cette organisation a apporté comme contribution avant, pendant et après la commémoration de l'Aïd- El- Kébir, en Côte d'Ivoire. Cet important apport a permis à nombreuses familles démunies d'avoir plus de 30 kilogrammes de viande pour la fête. Cette organisation (BADR), à en croire son président, qui existe depuis décembre 2017, a pour but de mener des actions de bienfaisance. Notamment dans le secteur éducation ? formation (construction de centres islamiques, écoles confessionnelles), dans le social, construction de pompes à motricité humaine (24 pompes réalisées à ce jour), foyer pour orphelins, des hôpitaux, de lutter contre la pauvreté Etc. Chaque année et surtout à l'occasion de l'entrée scolaire ou des fêtes musulmanes, l'ONG BADR attend apporter son aide où besoin sera, en offrant des kits scolaires et des dons en vivres et non vivres aux familles les plus vulnérables.

Harry Diallo, à Yamoussoukro