mardi 30 octobre 2018 par Pôle Afrique

La crise postélectorale qui menace la quiétude à Grand-Bassam ne laisse pas de marbre le candidat déclaré vainqueur par la Commission électorale indépendante (CEI).

Une défaite peut faire mal qu'une précédente. Et des candidats n'ont souventes fois pas les mêmes réflexes surtout quand on a préparé les consciences à des victoires propres et d'autres qui seraient au cas échéant, usurpées . Depuis le 13 octobre dernier, Grand-Bassam vit au rythme des manifestations d'une centaine de jeunes selon les avis, mais qui ne laissent pas indifférent Jean Louis Moulot, candidat du RHDP.

Recevant en sa résidence ce lundi soir des représentants éclectiques de la jeunesse de Grand-Bassam, il a lancé un mot d'ordre précis et ferme face à la violence qui s'est installée dans la commune balnéaire.

Nous sommes sereins, nous sommes dans la sérénité de celui qui la vérité, une élection ne se gagne pas dans les rues mais dans les urnes a-t-il précisé. Les manches de sa chemise bleu ciel retroussées, le candidat de 45 ans qui assure avoir terrassé le baobab du PDCI-RDA, Georges Ezaley estime qu'il est important de respecter les lois de la République, les institutions. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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