samedi 10 novembre 2018 par Jeune Afrique

Au cinquième jour de la grève lancée par douze syndicats du secteur de la santé en Côte d'Ivoire, les autorités et les leaders de la contestation semblent ne pas parler le même langage. Dans les hôpitaux publics, la situation devient de plus en plus alarmante.

Vendredi 9 novembre, dans la cour du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody (Abidjan). Des parents de malades sont particulièrement nerveux. Il y a de nombreux malades, mais le personnel de santé est insuffisant , s'inquiète l'un d'entre-eux, qui attend fébrilement que son frère puisse enfin être examiné par l'un des rares aides-soignants chargés d'accueillir les patients avant de les envoyer en consultations devant un médecin. ... suite de l'article sur Jeune Afrique