lundi 7 janvier 2019 par Pôle Afrique

A saint Jacques ce qui est à Saint Jacques : la foi sans les ?uvres, est une foi morte . Selon lui, l'étalement de la foi se traduit par les ?uvres et rien d'autres. En auditeur attentif et attentionné, le fidèle Félix Houphouët Boigny l'a introjecté et en a fait son principal crédo. De sorte que de 1960 à sa mort en 1993, il a offert aux ivoiriens et au reste des habitants du monde, des ?uvres qui comptent et que l'on peut découvrir et appréciées dans la vitrine privée de Dieu le Père : une basilique à Yamoussoukro, une cathédrale et un sanctuaire Marial à Abidjan.

Le tout béni par trois visites papales rapprochées. En 33 années de fidélité toute acquise à la gloire de l'Eternel, Houphouët a accompli le miracle spirituel qui continue aujourd'hui encore, a illuminé l'espace social de notre pays et à lui conférer un rayonnement qui a un caractère très spécial. Il avait le chic de contenter et honorer la communauté des laïcs et les bergers de toutes obédiences religieuses. Au moment de sa mort en 1993, notre pays comptait 100 cierges de vie chrétienne, et sur les cent ans, il a eu besoin de 33 années pour hisser notre pays la Côte d'Ivoire, à la deuxième place inatteignable de puissance spirituelle mondiale , après le Vatican bien sûr. A la surface de la terre et pour la même période d'actions, la mission apostolique d'Houphouët est l'une des plus riches et des plus dynamiques qui soit à l'échelle planétaire. ... suite de l'article sur Pôle Afrique

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