lundi 15 avril 2019 par LInfodrome

Dans la région du Loh-Djiboua, il en impose par son leadership. Le député de Goudouko-Niambézaria le démontre chaque jour par ses actions et les sollicitudes dont il fait preuve auprès des siens. En témoigne cette journée du samedi 13 avril 2019 au cours de laquelle il aura changé 4 fois d'uniforme pour répondre aux appels des populations çà et là. A ces populations, qui lui ont envoyé un signal fort, il a partagé sa vision de la politique.

Frédéric Ozoukou a sa vision de la politique qu'il aurait bien voulu que tous les fils de sa localité, de son département, voire de sa région épouse. Le Député de Gougouko-Niambézaria exclut toutes formes de cloisonnement dans les rapports individuels qui hypothèque le développement à la base et le bien-être des siens. Le samedi 13 avril dernier, en répondant à l'appel de l'Association des ressortissants de Niambézaria à Divo (ARENID), l'élu de la nation a traduit tout son attachement à la cohésion et à l'unité fraternelle constructive en lieu et place de la politique dans la division. Evitons de ne parler que politique. Ça ne sert à rien. On peut être Pdci, Rdr et Fpi et être frères. Où est le problème ? Au contraire, si tu es Pdci, l'autre est Fpi, et l'autre est Rdr, ensemble vous aidez le village. () L'important, c'est nos parents. Comment les aider ?

Le député saluait, en effet, l'union fraternelle réussie par les ressortissants de Lakota, et en particulier de la sous-préfecture de Niambézaria pour penser au développement de leur localité. Il exhorte tous les fils de cette circonscription dont il est l'élu, à se sentir concernés par le bien-être des leurs. Qu'on soit à Abidjan, à Divo où même en France, que notre mission soit le développement du village. On doit avoir çà à l'esprit . L'honorable Ozoukou déplore que toutes les sollicitations et les charges reposent sur les épaules d'une seule personne qui se trouve parfois combattue dès qu'elle affiche des ambitions comme ça a été son cas par le passé. Moi, j'en ai été victime. Certains leaders ont commencé à me combattre, parce qu'ils voulaient être leader du village. C'est pitoyable , relate l'universitaire et pharmacien-biologiste qui rappelle les initiatives prises en son temps qui avaient commencé à donner de la visibilité à sa région. ... suite de l'article sur LInfodrome