mercredi 10 juillet 2019 par AIP

Abidjan- Le nouveau bureau de coordination de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), composé de 10 membres, a été investi mercredi, à Abidjan, en présence de divers partenaires techniques et financiers, notamment, le Contrat de désendettement et de développement (C2D), le Programme pays de renforcement de capacité (PPRC).

Son président Mahamadou Kouma a indiqué s'inscrire dans la continuité de ses prédécesseurs. Nous entendons améliorer notre dispositif interne de management en développant une vision partagée de notre contribution à apporter au développement de la Côte d'Ivoire , a-t-il déclaré.

Il a annoncé que son bureau est composé de différentes organisations de base, notamment un 1er vice-coordonnateur du comité diocésain de la Commission justice et paix de l'Eglise catholique, Dr Fayé Gabriel, 2ème vice coordonnateur issu du COSIM, El Hadj Konaté Sékou, un secrétaire général du conseil national islamique (CNI), El Hadj Bakayoko Mamadou, un secrétaire général adjoint de l'association des élèves et étudiants musulmans de Côte d'Ivoire, Kiné Mamadou.

Un secrétaire à la formation et au renforcement des capacités issu de l'Union générale des travailleurs de Côte d'Ivoire (UGTCI), Donzo Boidou, un secrétaire aux relations extérieures issu de l'association nationale des organisations professionnelles agricoles de Côte d'Ivoire, N'Dri Véronique, un secrétaire à l'organisation et à la mobilisation sociale, de l'ONG vivre sans violence, Kouakou Nathalie.

Une secrétaire à la communication issue de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), Diarra Assa, et d'un trésorier général, du secours médical islamique (SEMI), Dr Kéita Abass.

La CSCI est la faîtière des organisations de la société civile de Côte d'Ivoire. Elle repose sur quatre piliers comprenant 171 structures nationales. Elle ?uvre à promouvoir la bonne gouvernance, la démocratie participative, l'état de droit et la cohésion sociale.

Son plan stratégique 2019-2025 est axé sur le renforcement de capacités de la CSCI et de ses organisations membres, la réalisation d'enquêtes et d'études sur les politiques publiques et le plaidoyer pour la prise en compte des recommandations de la CSCI, relève-t-on.


gak/fmo