Serge Doh nourrit l'ambition de mettre en place un fonds inter-régional de lutte contre le Covid-19, réunissant les régions du Guemon et du Cavally. A l'heure où sévit la maladie à coronavirus et au moment où les besoins d'assistance se font de plus en plus pressants, le champion d'Afrique d'athlétisme et homme d'affaires évoluant dans la fintech, évalue les meilleures possibilités pour une gestion efficace et efficiente de la crise sanitaire qui prévaut dans le monde en général, et dans le Cavally et le Guemon en particulier.
En effet, pour Serge Doh, fils du Guemon, il est question d'anticiper au plus vite sur les dangers de ce mal pernicieux et de freiner considérablement son avancée. C'est donc dans un esprit et un élan de solidarité jugés plus que nécessaires qu'il en appelle au sens élevé du devoir de tous les fils et filles des deux régions concernées (élus, cadres, diaspora, populations alochtones, autochtones, allogènes et toutes les personnes qui y ont des intérêts économiques) pour que ce fonds voit le jour au plus vite en vue de soulager tous ceux qui sont dans le besoin.
Aussi, le médaillé d'or du Championnat d'Afrique d'athlétisme de Yaoundé invite toutes les âmes de bonne volonté qui aimeraient faire parler leur coeur et porter assistance aux habitants des régions du Guemon et du Cavally à rejoindre cette grande caravane de solidarité qui s'annonce, avec à la clef la création du fonds inter-régional de lutte contre le Covid-19. C'est une grande première comme initiative aussi bien au plan régional, qu'au plan national.
Par ailleurs, Serge Doh, avec l'ONG Pardon est mieux , compte déjà à son actif la distribution de vivres et non-vivres à Bangolo ville, Gohouo Zagnan (son village paternel) et Dah (son village maternel) pour ne citer que ceux-là. Objectif : permettre aux populations de mieux vivre le confinement. Des actions qui soutiennent amplement son engagement des premières heures à s'investir dans la naissance d'un outil de lutte plus solide : le fonds inter-régional de lutte contre la maladie à coronavirus qui lui tient vraiment à coeur.
A. N.