lundi 20 juillet 2020 par L'intelligent d'Abidjan

Amadou Gon Coulibaly a, incontestablement, impacté le développement de Korhogo.
Longtemps, en proie à de multiples crises de leadership entre les cadres, la cité du Poro a amorcé son développement grâce au leadership du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly.
À l'image de toutes les villes du grand nord, le développement de Korhogo était au point mort.
La guerre militaro-politique de 2002 qu'a connue la Côte d'Ivoire, et la crise postélectorale de 2010, ont enfoncé le clou du sous-développement dans la région.
C'est dans ce contexte que le président Alassane Ouattara accède au pouvoir avec un vaste programme de développement en faveur des différentes régions du pays.
À ses côtés, Amadou Gon Coulibaly, un fidèle compagnon de lutte.
Deux mandats après, on peut l'affirmer sans risque de se tromper que l'image de la quasi-totalité des villes qui étaient à l'abandon, et celle de Korhogo en particulier, a véritablement changé.
La cité du Poro naguère poussiéreuse a subi une transformation radicale grâce au leadership d'un de ses fils, Amadou Gon Coulibaly. En 10 années de gouvernance du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), la ville a fait sa mue. Ce qui fait qu'elle peut enfin porter fièrement le sobriquet de ?'la capitale du nord''.
Cette métamorphose de la commune de Korhogo vers le développement est le fruit d'un homme, Amadou Gon Coulibaly. D'abord député de Korhogo de 1995 à 2000, et maire de 2001 à 2018, Amadou Gon Coulibaly (AGC) ou (LE LION), comme l'appelle ses admirateurs a pesé de son poids pour propulser sa ville vers l'émergence.
AGC qui fut l'ancien ministre de l'Agriculture, puis secrétaire général de la Présidence, avant d'occuper le poste de Premier ministre du gouvernement ivoirien a, par le travail dans la discrétion, amélioré considérablement le mieux-être des populations.
Il ne ratait aucune occasion pour être sur le terrain à Korhogo, afin de suivre de près les travaux engagés dans le cadre des actions gouvernementales. ... suite de l'article sur L'intelligent d'Abidjan