Zadi Gnagna a été investi comme le tout premier secrétaire général de la confédération générale syndicale des travailleurs de Côte d'Ivoire (CGST-CI) le samedi 18 Octobre 2020 à l'auditorium de la bibliothèque nationale dans la commune du plateau.

Le monde syndical enregistre une nouvelle organisation, la CGST-CI). Son premier responsable Zadi Gnagna Théodore lors de son investiture a donné les raisons de la naissance de cette confédération qui regroupe les fédérations du secteur privé et public () Cette nécessité de l'union est une exigence du mouvement syndical, qui doit rechercher de façon constante le rassemblement et la jonction des forces qui partagent les mêmes idéaux ainsi que les autres valeurs. En effet, les divisions syndicales excessives de ces dernières années ont exacerbé l'inefficacité et produit de graves faiblesses dans le mouvement syndical. Cela, au détriment des travailleurs. Par ailleurs, les Internationales des travailleurs (BIT, CSI) pour ne citer que celles-là n'ont eu de cesse d'encourager la création de plusieurs grands groupements pour des actions unitaires et surtout pour parler d'une même et seule voix. C'est donc avec bonheur que je salue la naissance de cette organisation qui vient combler un vide de par ses ambitions . Zadi Gnagna, a indiqué que la CGST-CI ambitionne de faire du mouvement syndical des travailleurs, une force globale de rassemblement, de ralliement et de solidarité agissante autour des problèmes des travailleurs. Aussi s'engage-t-elle à promouvoir et à défendre les droits et intérêts de tous les travailleurs en activité comme à la retraite, dans des conditions de dignité, de liberté, de justice, de sécurité et donc de paix, à assurer la formation syndicale et l'éducation des leaders et procéder à la réorientation objective et idéologique du syndicalisme, aux réalités nationales. La CGST-CI s'engage en outre à définir avec les pouvoirs publics (État-Privé), un nouveau contrat social afin de faire avancer les opinions et les aspirations des travailleurs. ... suite de l'article sur L'intelligent d'Abidjan