L'Union des journalistes et communicateurs musulmans de Côte d'Ivoire (Ujcomci) a organisé le samedi 1er mai 2021 la 3ème édition de sa traditionnelle cérémonie de rupture collective du jeûne du Ramadan à Ivoire Golf Club de Cocody.
À cette occasion, le président de la cérémonie le ministre de la communication, des médias et de la francophonie, porte-parole du gouvernement Amadou Coulibaly, la marraine Maférima Diarrassouba Directrice Générale de la Société des Palaces de Cocody et le parrain Ibrahim Koné, Directeur général de Quipux-Afrique, ont appelé les journalistes et communicateurs de confession islamique à être vigilants face aux fakenews.
Se prononçant sur le thème du jour Journalistes et communicateurs musulmans face aux fake news , Amadou Coulibaly, ministre de la communication, des médias et de la francophonie, parlant en son nom et au nom du ministre de l'Intérieur et de la sécurité Vagondo Diomandé également présent à la cérémonie, a invité les journalistes à rester vigilants face aux fakenews et à dire la vérité qui est le socle de la religion musulmane.
Si nous prenons notre religion comme notre socle, (...) nous ne devons pas nous laisser distraire par ce monde de la perception qui invite à tricher, qui invite à vouloir être autre que nous sommes, qui invite à vouloir dire haut que ce qui est la vérité. Vous avez donc un rôle à jouer dans ce monde dominé par les réseaux sociaux aujourd'hui, qui ont démocratisé la communication , a conseillé Amadou Coulibaly.
Abondant dans le même sens Maférima Diarrassouba directrice générale de la Société des Palaces de Cocody a dit : À l'ère de la digitalisation de l'information qui va de pair avec la rapidité de la diffusion de l'information, un accent particulier doit être mis sur la vérification et la confirmation de celle-ci avant publication. () Le communicateur musulman doit se faire fort d'être le relai d'informations vraies et vérifiées .
De son côté Ibrahim Koné, Directeur général de Quipux-Afrique a signalé que toute production de mensonge est source de destruction de la société. ... suite de l'article sur L'intelligent d'Abidjan