Lors de l'avant-dernià¨re journée de la 77e Assemblée générale des Nations unies, Abdoulaye Maà¯ga est venu en force avec une délégation et une trentaine de manifestants hostiles à la France. Dans un discours trà¨s offensif, il a multiplié les critiques virulentes, notamment à l'égard de la Côte d'Ivoire et de la France.
Avec notre envoyé spécial à New York, Léonard Vincent
Solennel, froid, en grand bazin blanc, Abdoulaye Maà¯ga n"a épargné personne lorsqu'est venu le moment pour lui de prendre la parole à la tribune de l'ONU. Ni Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, à qui il a aimablement rappelé qu"il n"était pas un chef d"état . Ni le président bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalà³, qui... suite de l'article sur RFI