lundi 15 juin 2009
Assuefry-Transua : La tension est latente
Assuefry et Transua ont toujours été des frères d'une même communauté ! Sur le plan politique, chacun cherche à développer son village. Les populations de Transua se sont installées sur les terres d'Assuefry avec la bénédiction des ancêtres d'Assuefry, propriétaires terriens, dit-on. La guerre entre les deux frères ennemis ne datent pas d'aujourd'hui, selon plusieurs sources. Mais, elle n'a jamais atteint un tel degré de gravité avec ce qui se déroule maintenant. Cela, depuis le décret No 200
Le Repère
jeudi 11 juin 2009
Assuefry-Transua: La voie désormais accessible
Les populations de Transua et Assuefry sont à couteaux tirés, depuis l'érection de la première localité en chef-lieu de département. Cette situation a amené certains ressortissants d'Assuefry à obstruer la voie, empêchant du coup la circulation entre ces deux zones. Bien malheureux, l'ex- président Henri Konan bedié qui, au cours de sa récente tournée a dû faire 70 kilomètres pour rallier les deux localités, là où il devrait en faire 18. Il ne peut que s'en prendre à lui-même, car c'est un de s
Notre Voie
lundi 20 juillet 2009
Bondoukou : Arrestation d`un chef de village : Fin d`une longue tradition d`impunité
Nanan Kouamé Koko Antoine, chef du village de Kékréni dans le département d`Assuefry est en détention préventive depuis le jeudi dernier à la maison d`arrêt et de correction de Bondoukou pour avoir donné l`ordre à ses sujets d`attaquer en mai les campements de Souleykro, Kouassiboronikro et de Séréoudéyaokro. L`arrestation de ce chef coutumier est-elle un signal fort émanant du juge d`instruction pour marquer la fin de la longue tradition d`impunité qui semble caractériser la région du Zanzan ?
Nord-Sud
jeudi 22 octobre 2009
Assuefry - Populations et chefferie exigent le départ du commandant de brigade
L'affaire fait un grand bruit en ce moment dans les villages de la sous-préfecture d'Assuéfry. Les populations ne fument plus le calumet de la paix avec M. Taha Gohou Jean, commandant de brigade de gendarmerie. Ils ne veulent plus de lui. Une pétition est signée par des chefs de village pour demander son départ. Mais que reproche-t-on à l'homme en charge de la sécurité de cette population pour être surnommé "Cb 110000 Fcfa ". Les faits dont on l'accuse sont nombreux. "Depuis l'arrivée du co
Le Temps