vendredi 17 novembre 2017
Le préfet de Bangolo dément l'existence d'un conflit inter-ethnique dans le département
Bangolo ? Le préfet de Bangolo, Chérif Brahima, a démenti mercredi la rumeur qui annonçait depuis quelques jours l'existence d'un conflit inter-ethnique dans le département dont il a la responsabilité.
Une certaine presse a annoncé le lundi 13 novembre l'extension jusqu'à Bangolo de la crise qui oppose des communautés à Guiglo. Il n'en est rien. Il s'est plutôt agi de rumeur qui courait dans la sous-préfecture de Zou , explique M. chérif.
Selon l'administrateur, un individu répo
AIP
jeudi 7 septembre 2017
Communiqué du Conseil National de Sécurité
... e du dialogue politique et du processus de réconciliation nationale. Il s'agit notamment de :
1- YOBO Jean Rodolph - militaire;
2- Aubain OULAÏ alias ''BINO'' - militaire;
3- ZAMBLE YOUAN BI ZOU Basile - militaire;
4- SERY DOUA Alain dit MOCAMO - militaire ;
5- BOHOUSSOU WASSA Toussaint ? militaire ;
6- PECOULA Mathias ? militaire ;
7- DAKPA Jean olivier - milicien;
8- ADOU Steven Djezen - milicien;
9- DJIHITIEN Rodrigue ? milicien ;
10- DJIPRO Nikpi
Présidence
jeudi 7 septembre 2017
Stéphane Kipré et Damana Pickas 'impliqués' dans un projet de déstabilisation de la Côte d'Ivoire (Ministre)
... ées, elles avaient été libérées dans le cadre du dialogue politique et du processus de réconciliation''.
Il s'agit des militaires ?' Yobo Jean Rodolph, Aubain Oulaï alias Bino, Zamblé Youan Bi Zou Basile, Séry Doua dit Mocamo, Bohoussou Wassa Toussaint et Pécoula Mathias ainsi que des miliciens Dampai Jean Olivier, Adou Steven Djezen, Djihitien Rodrigue, Djipro Nikpi Hervé alias le Renard, Kouassi Konan Yves alias Gaou, Eba Eliahou Israël et Téhé Marc alias Marco'', a cité le
APA
jeudi 16 novembre 2017
Des élèves du lycée de Bangolo plaident pour une infirmerie
... e que l'hôpital est situé à plus de deux kilomètres du lycée. Voilà pourquoi nous souhaitons la construction d'un médico-scolaire au lycée , a expliqué mardi Gbaho Isaac.
Pour une autre élève, Zou Charlène, la deuxième difficulté qu'ils rencontrent est liée aux frais relativement élevés à débourser à l'hôpital général et qui les empêchent de se soigner convenablement.
Selon elle, il faut payer pour la consultation, 500 FCFA, débourser 300 FCFA pour le carnet de santé
AIP